DataOps – Optimiser la gestion des projets de données

La donnée est clairement le nouvel or noir des organisations. Encore faut-il collecter, traiter et analyser la donnée pour la transformer en une information pertinente pour le métier. Tel est le défi de la DataOps, une nouvelle approche de la gestion de projets data.

Selon la définition du cabinet Gartner, le DataOps est « une pratique de gestion collaborative des données destinée à améliorer la communication, l’intégration et l’automatisation des flux de données entre les gestionnaires de données et les utilisateurs métier dans l’organisation. » L’objectif du DataOps consiste à délivrer plus rapidement de la valeur et à mieux prévoir la fourniture et la gestion des données, des modèles de données et des traitements de données. « Le DataOps fait appel à des technologies pour automatiser la conception, le déploiement et l’exploitation des fournitures de données avec les niveaux de gouvernance appropriés, et s’appuie sur des métadonnées pour améliorer l’exploitabilité et la valeur des données dans un environnement dynamique.

Défis

A l’heure où la transformation numérique doit permettre aux entreprises de gagner en efficacité, tant opérationnelle que financière, et en compétitivité, il est indispensable de mettre la donnée au centre de tous les processus. Or les structures des entreprises sont encore trop souvent en silos, tandis que l’alignement entre le métier et les équipes informatiques n’est pas toujours idéal. De même, les projets de données restent guidés par une démarche artisanale et ne sont dès lors source de gaspillage tant en énergie qu’en budget. Enfin, les technologies mises en œuvre dans de tels projets data sont encore trop fragmentées et peu matures, ce qui implique une prise de risque importante pour l’organisation.

Pour encadrer de tels projets, deux méthodologies désormais assez bien connues doivent être mises en place. D’abord, le DevOps qui implique un alignement étroit entre équipes de développement et d’exploitation IT. L’accent est mis sur la collaboration et la communication en automatisant le processus de livraison de logiciels et de changements d’infrastructure, et favorise donc une meilleure communication entre les équipes. L’autre axe est la méthodologie agile. En fait, le, le déploiement agile vous permet au fil des itérations du projet de gérer les changements de priorités et la validation tout au long du projet de développement, ce qui vous en assure la propriété et le contrôle.

En pratique

Pour assurer la réussite d’un tel projet, plusieurs éléments doivent être pris en compte. La gouvernance des données ainsi que la sécurité des données et des opérations sont deux aspects à mettre en avant, de même qu’une intégration et un traitement fluides des données. En outre, la visibilité des données devra être garantie et des fonctions de self-service devront être disponibles pour les utilisateurs finaux.

Le DataOps présente de nombreux avantages. Ainsi, il améliore la productivité et accélère la mise en production de projets de données. La collaboration s’en trouve améliorée et le besoin de compétences techniques ultrapointues s’en trouve réduit. Le taux de réussite d’un tel projet augmente, de même que la satisfaction globale tant des équipes que des décideurs.

Cela étant, et comme beaucoup de technologies innovantes, le DataOps se heurte à certaines réalités. Ainsi, la valeur d’un tel projet reste difficile à démontrer. De même, les délais d’implémentation sont longs. Du coup, rares sont les projets qui sont réellement déployés en production.

Par étapes

Pour être une réussite, un projet DataOps doit se faire par étapes pour automatiser la conception, le déploiement et la gestion des flux de données, le tout dans le respect de la gouvernance et des métadonnées. Un pipeline de données devra donc être mis en place depuis l’extraction jusqu’à la visualisation par le métier.

Le rôle du DataOps sera précisément d’orchestrer et d’automatiser ce pipeline selon un principe de boucles : un sandbox avec les données brutes pour une analyse sommaire des données ; un staging qui affinera l’analyse après nettoyage et documentation pour obtenir les premiers modèles ; et la mise en production des modèles pour leur exploitation par les utilisateurs.

Aprico Consultants est une société de conseil spécialisée dans l’architecture et la transformation des systèmes d’information. En accélérant résolument les processus de transformation numérique, la société fournit à ses clients la flexibilité, la performance et la compétitivité nécessaires pour leur permettre de renforcer leur position sur le marché. Aprico Consultants collabore avec ses clients pour traduire la stratégie de l’entreprise, ses objectifs et ses contraintes en programmes de transformation pragmatiques qui délivrent une véritable valeur ajoutée et un retour sur investissement avéré.

L’autodiscipline, la clé pour vos projets (même personnels)

L’autodiscipline pour atteindre ses objectifs.
Découvrez pourquoi la discipline appliquée en mission de consultance ou en privé permet de booster votre épanouissement personnel.

Chez Aprico, on met tout en œuvre pour que nos consultants s’épanouissent dans leurs missions. Mais on n’oublie certainement pas que l’équilibre tient aussi à une vie personnelle et sociale de qualité. Voici quelques conseils afin d’atteindre vos objectifs, qu’ils soient privés ou professionnels.

Formuler des ambitions

Dans votre travail, vous êtes focus sur les objectifs fixés dans le cadre de votre mission. Cette même discipline appliquée aux autres aspects de votre vie permettra de progresser dans votre épanouissement personnel, vous l’aurez peut-être remarqué.

Pas besoin d’être sportif de haut niveau pour formuler des ambitions et mettre en œuvre les changements nécessaires pour y arriver. Et ce, que votre but soit d’être en forme pour votre trek en Afrique, de booster votre branding personnel ou d’exceller dans la cuisine gastronomique.

Implication et discipline

Quel que soit le projet qui vous tient à cœur, le but à atteindre nécessite des changements au quotidien. Démarrer avec l’espoir qu’on va y arriver par chance, par hasard ou en s’y mettant en dernière minute c’est l’assurance de ne pas y arriver. Exactement comme dans la sphère professionnelle.

Dès que l’on formule une ambition, un niveau d’implication et de discipline y sont associés. Il suffit de lire les biographies d’Elon Musk ou d’autres entrepreneurs à succès pour s’en rendre compte. Derrière le résultat se cachent souvent une volonté d’acier et énormément de travail avant d’arriver à la maîtrise d’un savoir-faire. Pas besoin de se mettre en tête de concurrencer Tesla ou SpaceX, la même méthodologie s’applique à la préparation des 20km de Bruxelles ou à impressionner sur le green.

Votre volonté

Votre petite voix sait ce qu’elle doit mettre en mouvement pour réaliser plus de performance. Deux attitudes possibles. Soit on s’y met, à un rythme soutenu, pendant le temps nécessaire à atteindre son objectif. Soit on sait qu’on a besoin d’être stimulé. Aucun problème à cela : c’est pour cette raison que le coaching et le mentoring existent. Ce qui ne marchera pas, c’est de se convaincre qu’on peut le faire à sa façon.

Donc vous avez la volonté de vous y astreindre seul de manière assidue ou vous mettez en place l’accompagnement nécessaire pour y arriver. Vous pratiquez, corrigez le geste jusqu’à le maîtriser, seul ou accompagné. Mais vous ne laissez pas les choses dans les mains du hasard ou à la demi-mesure. En tous cas si vous voulez réaliser l’ambition que vous vous êtes fixée.

Votre lucidité

Analyser son environnement, faire un diagnostic de ses projets en fonction de son contexte, c’est aussi une étape incontournable. Identifier les tentations qui peuvent faire dévisser et les éluder pour éviter de mettre sa volonté à l’épreuve. C’est la lucidité nécessaire au succès.

Pour progresser au ski (et se discipliner plus rapidement) le plus efficace sera de suivre une team qui pratique mieux que soi et non de plafonner au sein d’un groupe du même niveau, voire inférieur. Sans excès. Le but n’est pas de négliger tous les pans de sa vie pour atteindre son objectif. Mais de se créer des routines réalistes, adaptées, et de s’y tenir.

La lucidité, c’est identifier les moments où l’on a plus d’interactions avec les autres et s’aligner avec sa famille, ses amis… Transformer ses attitudes en réel levier professionnel et décider quels sont les meilleurs moments pour être entièrement focus sur ses objectifs, se fixer des deadlines et les respecter. Comme dans le cadre d’une mission, en fait.

Votre motivation

Quelle différence entre la volonté et la motivation ? La volonté, c’est se dire « j’ai véritablement envie d’arriver à ça ». La motivation, c’est décider « tous les jours, je vais faire ceci pour y arriver » et obtenir ainsi sa dose de satisfaction quotidienne.

La séquence d’événements est importante. La motivation ne doit pas forcément précéder l’action. L’action sera souvent à la source de la motivation, par le résultat qu’elle génère. Je n’ai pas envie de répéter le même service sur un court de tennis sans arrêt. Mais j’apprécie le degré de précision obtenu dont je suis motivé à continuer l’entraînement.

Il est capital de mettre en phase le niveau d’ambition et le niveau d’effort que vous êtes prêts à fournir. Et surtout, de prendre plaisir sur le chemin. Le résultat n’est pas le seul goal, la route sera aussi importante dans votre épanouissement. Créer de la valeur. Finalement, c’est ça qui compte.

Envie de missions IT épanouissantes ? Aprico Consultants prend soin de votre carrière.

Travailler pour Aprico Consultants, c’est…

  • L’ambition
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Devenir consultant IT : les signes qui ne trompent pas

Vous hésitez à vous lancer comme consultant ? N’attendez plus. Si vous êtes un expert IT qui veut déployer ses ailes sans forcément créer son entreprise, il existe des solutions de carrière sur mesure.

Vous ne vous sentez plus aussi épanoui qu’avant dans votre job ? Vous avez envie de déployer vos ailes dans le cadre d’une évolution de carrière gratifiante ? Vous démontrez suffisamment d’expertise pour lancer votre boîte, mais n’avez pas envie d’emprunter le parcours de l’entrepreneur ? Devenez consultant IT, nous nous chargeons de trouver votre prochain projet.

Initiative, dynamisme, expérience

De la même façon qu’un entrepreneur, un consultant affiche un sens de l’initiative et un dynamisme sans faille. Il s’appuie sur une expérience solide pour mener des projets à terme et s’habitue avec aisance au changement. Toutes ces qualités sont utiles pour lancer son entreprise, mais aussi pour devenir consultant.

Travailler en mode projet

Devenir consultant IT c’est aussi se consacrer à des projets plutôt qu’à du management pur. C’est reconnaître son sens de l’adaptation (hors normes) et faire avancer des missions grâce à une bonne connaissance de soi. Oui, cela demande une bonne dose d’organisation et d’autonomie. Mais être autonome ne veut pas dire être seul. Chez Aprico Consultants, les consultants bénéficient tous d’un accompagnement tout au long de leur carrière.

Indépendant plutôt qu’entrepreneur

Vous avez définitivement la fibre d’un consultant ? Vous pensez être cet expert qui s’épanouira dans les bons côtés de l’indépendance sans les lourdeurs de l’entrepreneuriat ? Alors plus rien ne peut vous retenir. Même pas votre zone de confort, vos habitudes ou votre sécurité. Car choisir, c’est renoncer. La position peut paraitre inconfortable. Jusqu’à ce qu’on prenne sa situation professionnelle à bras le corps et qu’on démystifie ce saut dans l’inconnu.

Affirmation de soi et libération

Faire un choix de cette nature, c’est un tiraillement entre la raison et les sentiments. Certains le vivent comme un tourment. Mais beaucoup de coachs en entreprise sont formels : il s’agit des premiers pas dans l’affirmation de soi, dans la libération. Accepter de prendre une voie plutôt qu’une autre et jouer cette carte à fond provoque véritablement un sentiment de libération. Une clarté même.

En choisissant une voie alors que plusieurs se présentent à vous, vous allez automatiquement vous structurer. Vous libérer de l’avis des autres aussi. En écoutant l’avis de 10 personnes, on se plie à la raison des autres, et on s’oublie.

Choisir, c’est faire un pari sur soi

Or, le réconfort de l’absence de changement ne dure pas. Le fait de décider pour soi, de décider de ses propres contraintes va vous porter, vous projeter dans l’avenir, même. Tous ceux qui ont fait le pas se souviennent du moment où ils ont décidé de ne plus se laisser limiter dans leurs choix par des contraintes extérieures et artificielles.

Le choix, c’est un pari sur soi. Ça demande de se regarder en face avec beaucoup de lucidité et de construire son sentiment de sécurité en alignant qui on est, ce en quoi on croit, sa passion, ce qu’on ressent… et créer de la valeur. Les témoignages de nos consultants vous le confirmeront.

La réconfortante absence de choix

Et le plan B dans tout ça ? Le fait de se construire un filet, de temporiser, le temps d’être sûr qu’on va faire le bon choix ? Sans vouloir vous décourager, il s’agit d’un leurre. Il vous donnera une excuse pour ne pas choisir. Mais ne vous permettra pas d’être plus heureux.

L’argument du besoin financier aussi est un cocon réconfortant pour justifier une absence de choix. Or, si vous êtes convaincus que votre réussite intérieure est à ce prix, le succès va forcément en découler.

À force d’avancer sans filet…

Pourquoi les gens qui ont peu à perdre réussissent mieux dans leurs entreprises que ceux qui ont beaucoup à perdre ? Parce qu’ils ont cette certitude que ça va marcher. Ce sont des funambules qui se sont entraînés à marcher sans filet de sécurité. Ils sont habitués à poser des choix. Et on devrait davantage s’en inspirer pour perdre moins de temps dans l’accomplissement de ses rêves. Alors, prêt.e à vous lancer ?

Pourquoi devenir consultant avec Aprico ?

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La boule de cristal 2022 de l’IT

Quelles seront les priorités à l’agenda du CIO – et donc du département informatique – pour 2022, afin de poursuivre l’alignement entre business et IT ainsi que la transformation numérique ? Six tendances identifiées par le cabinet McKinsey.

De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace : telle est en résumé l’attitude que devrait adopter le CIO en 2022, aux dires du consultant McKinsey. La sortie de la crise sanitaire et l’accélération de la reprise économique devraient être les moteurs d’un regain de dynamisme de l’IT.

  1. Connaissez votre client aussi bien que votre technologie

Si autrefois, l’IT n’était guère en contact avec l’utilisateur final et réagissait plutôt à des requêtes de produits ou de services, il faut désormais impliquer l’IT en général, et le développement en particulier dès la phase de conception afin de mieux comprendre la valeur ajoutée que peut apporter une solution grâce à l’innovation technologique. Une collaboration étroite avec l’équipe de vente du produit et l’utilisateur final se révèle donc indispensable afin que l’IT ne soit plus un exécutant de la stratégie, mais un façonneur du design du produit. Mieux encore, l’IT devrait être proactif et anticiper les demandes et besoins du business. Car au final, « le client est roi ! »

  • Placez le cloud au centre de votre stratégie technologique

Si la plupart des organisations ont entamé leur migration vers le cloud, beaucoup ont encore des difficultés à exploiter pleinement la valeur du cloud sur le long terme. Car bon nombre d’entreprises cherchent à générer des gains de productivité plutôt que d’améliorer la valeur transformationnelle. En effet, au-delà des bénéfices en termes de coûts, il convient de trouver de nouvelles activités, des pratiques innovantes et des sources de revenus supplémentaires. Pour ce faire, le CIO devra transformer en profondeur le modèle opérationnel de l’IT et recruter de nouveaux talents capables d’accélérer la migration des charges de travail vers le cloud.

  • Faites de l’expérience développeur la pierre angulaire de la gestion des talents

Si la compréhension des besoins de l’utilisateur final est essentielle (voir point 1), il importe aussi de disposer de développeurs compétents, un défi d’autant plus grand en cette guerre des talents IT où le télétravail a exacerbé la compétition pour les meilleures ressources en pleine transformation numérique. L’entreprise s’efforcera donc de mettre en place une culture interne propice à l’épanouissement des informaticiens afin de leur donner un maximum d’autonomie et de capacité d’innovation. De même, elle cherchera à optimiser les talents grâce à des projets créatifs et innovants. Enfin, l’organisation devra offrir à ses équipes IT un maximum de liberté dans le travail et veiller à limiter la bureaucratie et les couches de management.

  • Stimuler l’apprentissage

« Ce n’est pas le plus fort de l’espèce qui survit, ni le plus intelligent. C’est celui qui sait le mieux s’adapter au changement. » Dixit Charles Darwin. En effet, vos meilleurs talents sont ceux qui aiment apprendre et apprennent toute leur vie. D’où la nécessité de mettre en place des programmes de formation et de recyclage ainsi que des certifications. Mais aussi d’inciter le métier à être éduqué au numérique car plus le business comprendra la technologie, plus il pourra en tirer profit et donc générer de la valeur. Enfin, l’IT devra stimuler le partage d’information tant en interne qu’à travers l’ensemble des métiers pour une fertilisation croisée optimale.

  • Faire de la sécurité un facilitateur de l’agilité et de la croissance

Dans nombre d’organisations, la sécurité et la conformité sont encore trop souvent considérées comme un mal nécessaire. Pourtant, l’explosion de la cybercriminalité impose de faire de la sécurité une priorité absolue. Avant tout, il importe d’aborder la sécurité sous l’angle culturel et managérial plutôt que technique, et de ne plus confier la sécurité exclusivement à une équipe dédiée, mais de responsabiliser chacun dans l’organisation. Ainsi, les spécialistes de la sécurité et de la conformité devront travailler main dans la main avec les développeurs. Par ailleurs, il faudra améliorer la prévention et la résilience dans le cadre d’un modèle DevSecOps, tout en mettant en place une politique de ‘security as code’.

  • Privilégier la qualité à la quantité des données

Si la donnée est le nouvel or noir des entreprises, le défi consiste pour les entreprises à en assurer la meilleure qualité possible (tant au niveau de l’accès que de l’usabilité), plutôt que la quantité, sachant que toute initiative visant à créer de la valeur se base sur des données qualitatives. Pour ce faire, la gouvernance sera une priorité. Par ailleurs, l’organisation devra mettre en place une fonction d’orchestration pour s’assurer de bien collecter, intégrer et gérer les données, puis de les analyser et de délivrer au business. En créant, pourquoi pas, une ‘data and analytics delivery war room’ qui réunira développeurs, juristes, spécialistes en conformité et architectes IT.

Les prédictions des analystes :

Gartner

https://www.gartner.com/en/information-technology/insights/top-technology-trends

McKinsey

https://www.mckinsey.com/business-functions/mckinsey-digital/our-insights/the-cio-agenda-for-the-next-12-months-six-make-or-break-priorities

Mindsight

https://gomindsight.com/insights/blog/it-priorities-for-2022-a-cio-report/

5 tuyaux vraiment efficaces pour gagner du temps

Comment être performant au travail sans sacrifier son sommeil? Comment être efficace dans ses missions de consultance tout en restant épanoui ? Découvrez les conseils d’Aprico Consultants pour gérer son temps et assurer sur toute la ligne.

Certains aiment les routines, d’autres préfèrent l’improvisation. Mais dans le cadre de l’organisation du travail, instaurer des routines positives vous permettra de gagner en temps et en efficacité. Sans doute le savez-vous déjà. Peut-être en avez-vous déjà mis en place certaines. Voici les conseils d’Aprico Consultants vraiment efficaces pour gagner du temps tout au long de la semaine.

1. Remplissez votre agenda

Gérez votre agenda au maximum de son potentiel et vous serez plus riche de quelques heures chaque mois, voire chaque semaine. Organisez toute vos journées dans votre agenda : non seulement vous serez plus performant dans votre travail, mais vous dégagerez du temps à passer à vos projets personnels ou votre vie sociale. Chez Aprico, nous croyons en ce ressourcement précieux qui vous permettra de revenir au travail épanoui, reposé, enrichi.

Les experts en gestion du temps conseillent de réduire les slots qui apparaissent par défaut dans les agendas de 60 à 20 minutes. Voire moins. Parce qu’un rendez-vous trop long est souvent redondant alors que 15 à 20 minutes bien denses suffisent à échanger toutes les informations nécessaires.

2. Notez-y absolument tout

L’agenda n’est pas seulement là pour rassembler les rendez-vous. N’oubliez pas d’y prévoir vos pauses, indispensables pour rester concentré. Mais aussi des temps de battement de quelques minutes entre chaque call ou rendez-vous, utiles pour rappeler un interlocuteur par exemple.

Notez même l’horaire de l’anniversaire de Papy ou votre séance de sport, votre temps de déplacement et vos collègues d’Aprico . Cela vous aidera à ne pas prendre de retard… Et à ne pas décaler la suite.

3. Dépensez du temps en amont

Dans la gestion du temps, un long temps de préparation en amont, une organisation minutieuse de la tâche, la visualisation précise de l’objectif permettent d’effectuer votre tâche d’exécution en un minimum de temps. Cela fait gagner de précieuses heures sur l’ensemble de votre projet ou de votre mission .

4. Gérez, classez, minutez vos tâches

Le temps passé à s’organiser est du temps productif. On l’a déjà dit, mais il n’est pas inutile de se répéter : ce qui permet de gagner en efficacité évite le temps perdu. Définissez vos tâches et le temps qui leur est dévolu. Déterminez les priorités, les échéances, classez votre to do list par ordre d’importance. Prévoyez des rappels s’il le faut.

5. Les mails, quand vous le décidez

Il peut sembler important de rester attentifs à ses mails. Mais, à moins que votre job description vous impose d’être joignable dans la minute, ne consultez pas vos mails en permanence. Ne gardez pas la fenêtre ouverte. Vous serez tenté de regarder ce qui arrive, d’y répondre, et de détourner votre attention de la priorité que vous vous êtes fixée. Vos messages LinkedIn ou vos mails peuvent être consultés à des moments définis. Par exemple, en début de matinée, juste avant la pause midi et en fin d’après-midi.

6. Faites taire les notifications

Si vous devez rester joignable pour une poignée de personnes, paramétrez votre smartphone de manière à filtrer par défaut. Si vous devez vous concentrer sur une tâche importante, utilisez la fonction « ne pas déranger » pour cette tranche horaire. De même que les mails, traitez les appels dans un créneau dédié pour être plus efficace. Au final, vos clients vous remercieront.

7. Prenez du temps pour vous

Ne zappez pas le repas de midi. Notez-le bien dans votre agenda. Vous avez besoin de carburant, de bon carburant, pour assurer votre mission. Ne zappez pas le sport. Prévoyez-le dans votre planning. Votre cerveau a besoin d’un mental et d’un corps sain pour être performant. Ne zappez pas votre vie sociale, ni sentimentale. D’autant qu’avec ces conseils efficaces, vous aurez gagné du temps pour les activités et les personnes qui vous aident à rester épanoui.

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Security – Zero Trust: a more systemic approach to security

The pandemic and the lockdowns forced us all to work from home. But remote access requires a more global approach to data and application security. And we also need to take into account the risks of cyberattacks and the growing complexity of managing an IT environment; hence the rise of Zero Trust security.

With Covid-19, telework has suddenly become the new normal for organizations, urging them to open up their IT infrastructures in order to allow remote access. Likewise, the breakthrough of e-commerce and logistics platforms has forced companies to allow their business partners (suppliers, customers…) to connect to their IT systems.

Openness

However, until now, the security of IT systems was mainly of the ‘moated castle’ or ‘citadel’ type, whereby the access to the resources, not only the systems, but also the data and applications, was extremely controlled, internally secured and totally locked for the outside world.

Given the high increase in the number of remotely connected devices, such as laptops, tablets and smartphones, but also objects within the framework of the IoT (Internet of Things), and the exponential increase in the number of cyberattacks, it appears more and more that traditional security is no longer relevant. Furthermore, digital transformation is leading to the implementation of ever larger ecosystems, requiring more ‘openness’. Moreover, the management of this type of security becomes a real brainteaser, especially because of the increasing complexity of the technologies and tools available.

A phased approach…

The Zero Trust principle is trivial: don’t trust anyone and always check! In other words: any person trying to connect to an organization’s IT system – whether inside or outside the network perimeter – must be checked before access can be granted.

According to this definition, Zero Trust is not a technology, but a global security strategy and the success of such an approach goes through various technological, organizational and governance steps. The employee could thus be a first step in the Zero Trust process. In this case, the objective will consist of protecting the internal users and their equipment against ID theft, phishing and other cyberattacks, for example with a two-factor or multi-factor authentication or even access and privilege management. This step would also allow to have a global view of device security and to apply access policies to each application, in particular based on the employee’s role.

Subsequently, the workloads can be secured, especially if the company is working in a hybrid or cloud environment. Moreover, this Zero Trust applied to the workloads will provide a better insight into the ongoing processes and will be accompanied – if required – by a more detailed segmentation of the applications and the network.

Finally, the workplace will be secured in order to keep absolute control over access and to identify potential threats.

… and beyond

However, a Zero Trust approach requires the continuous monitoring of privileges and authorizations as well as the creation of isolation layers in order to minimize the risks of attacks and to ensure good governance. Moreover, we must follow the path of the privileges and implement the principle of the least privilege. We must know very precisely which user has access to what (data, applications) at which moment, as well as the possible interactions between users. Indeed, a cybercriminal who would manage to hack a privileged user, would become almost undetectable because he would have the appearance of a trusted user.

According to Deloitte’s white paper ‘Zero Trust, a revolutionary approach to cyber or just another buzz word’, Zero Trust programs go far beyond technology and require the integration of a wide range of capabilities in order to achieve their full potential. In other words: such a strategy implies the integration and evolution of existing technologies, associated with next-generation solutions within the framework of clear roadmaps and solid architectural principles.

A never ending story

Imagined in 2010 by John Kindervag, principal analyst at Forrester, the Zero Trust concept seems to become more and more popular within companies. According to a study published in September 2020 by Gigamon, 97% of the organizations having started their transition to Zero Trust believe that this model could help them face the current global situation. In practice, 54% of them have chosen this approach to make their network more secure and reduce risks, while 51% of them refer to data protection and the simplification of security management.

Aprico helps companies innovate and rethink their business processes, by putting security at the center of their strategic reflection. We share best practices, technologies and organizational models allowing the organization to open up to the outside world and to safely share information.

Travail à distance : comment entretenir le lien client/consultant

Une relation Consultant-Client au top grâce à la transparence (même à distance). Comment assurer la transparence quand on travaille à distance ? Comment communiquer et gérer ses missions individuelles tout en gardant le contact. Découvrez les conseils d’Aprico Consultants…

Le monde d’avant ne reviendra pas. Le travail à distance fait désormais partie de la norme dans beaucoup de secteurs, source d’adaptation et d’interrogation. Comment assurer la transparence, comment communiquer, comment gérer ses missions individuelles tout en gardant le contact ? Ce sont des notions dans lesquelles nos consultants comme nos clients baignent au quotidien. Aprico Consultants vous offre les guidelines inspirées par Virginie Motte et d’autres professionnels du secteur.

Travail en remote

Dans le secteur IT, sauf exception, rien ne s’oppose à ce que le travail à distance s’opère à 100%. Pourtant, peu le recommandent, même dans le cas d’une mission. Le manque de lien social et d’émulation collective, la perte de sens et de motivation peuvent très vite apparaître. Reste pour l’entreprise à réenchanter la présence sur site, pour ses employés comme pour ses consultants. Les voilà contraints de sortir des sentiers battus, penser ‘out of the box’.

Maintenir le lien

Le premier conseil Aprico : créer ou recréer le lien, même à distance. « On sait qu’un collaborateur va se désengager s’il n’y a pas de lien, que ce soit avec son équipe ou sa hiérarchie. Le raisonnement vaut pour un consultant. Le lien est important pour l’être humain même si on aime travailler seul », assure Virginie Motte, Talent & Motivation coach indépendante. Du côté des consultants, il peut être appréciable d’être en interaction avec des personnes extérieures, en allant travailler de temps en temps dans des « bureaux satellites », qu’il s’agisse d’espaces de coworking ou de bureaux partagés, pas trop loin de chez soi pour gagner en mobilité ainsi qu’en convivialité.

La culture de la confiance

Lâcher prise, c’est le gros challenge des hiérarchies qui doivent accepter que les travailleurs aient la main sur leurs tâches qu’ils remplissent de façon autonome, aussi bien de chez eux, voire mieux, que s’ils étaient sur site. « Les couches supérieures doivent développer une culture de la confiance. S’ils ont des doutes, il leur suffit de suivre les chiffres. Chez Engie par exemple, on a bien remarqué que le travail à distance était rentable », poursuit Virginie Motte. « Le leadership contrôlant a mené au burn-out. Nous avons l’occasion de pratiquer un management plus libre, dans la cohésion d’équipe et la résolution de problème : de quoi aurait-on besoin pour avancer ? » Dans cette individualisation du travail, et cette autonomie, la communication ne doit pourtant pas être reléguée aux oubliettes. En tant que consultant Aprico qualifiés, vous savez ce que vous faites et pourquoi. Vous méritez la confiance de nos clients. Mais il n’est pas inutile d’échanger pour huiler les rouages.

Briefing et débriefing

Le deuxième conseil inspiré par la coach et validé par Aprico Consultants ? Veillez à organiser une réunion toutes les semaines ou tous les 15 jours afin de définir les priorités et les points de blocage. « Pour le manager qui se pose des questions, il est important de définir les objectifs lors d’un échange qui se fait en direct et non par mail. S’il n’y a pas de travail quantifié et posé sur papier, évidemment que la hiérarchie va se poser des questions. » Idéalement, un petit briefing en début de semaine pour définir un programme idéal et un débriefing, en fin de semaine pour échanger sur ce qui a avancé et ce qui n’a pas pu être fait.

Échanger et commenter

Quand on sait comment arriver au terme de sa mission grâce à son expertise, l’intérêt peut sembler limité. Il est pourtant primordial à la relation et à la compréhension. « La communication peut ne pas être la priorité des consultants, mais ils ne sont généralement pas opposés quand on leur explique que l’objectif est d’entretenir le lien. Avoir des échanges, commenter les avancées, c’est essentiel à la motivation et à l’engagement. »

Vie privée/professionnelle

Pour le reste, ce n’est pas parce qu’on travaille à distance qu’il faut se négliger. Fixer des limites entre vie privée et vie professionnelle est primordial. Tout comme organiser sa journée, instaurer un rythme de travail, s’accorder des pauses… « Cela peut sembler cliché , mais mettre en route une lessive n’est pas une pause », sourit Virginie Motte.

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Maillage de la cybersécurité

Face à l’explosion des menaces et à l’émergence des interactions à distance, la sécurité centralisée laisse entrevoir ses limites, d’autant que les infrastructures se font toujours plus complexes et distribuées. D’où l’apparition du concept de cybersecurity mesh ou maillage de la cybersécurité que le cabinet Gartner propose comme nouvelle approche.

Pour une cybersécurité évolutive, flexible et fiable

Aujourd’hui, nombre de (grandes) entreprises continuent à s’appuyer sur de vastes réseaux IT centralisés. Or des technologies comme le cloud ou l’edge (notamment dans le cadre de l’internet des objets ou IoT) font que le traitement des données se fait de manière toujours plus décentralisée. Face à de telles évolutions, la (cyber)sécurité et la gestion des risques deviennent toujours plus complexes, d’autant que la pandémie a donné un coup d’accélération soudain au télétravail et à l’accès à distance à l’information.

Maillage

Pour apporter une réponse à ces défis, le cabinet Gartner estime, dans son rapport Top Tech Trends 2021 , que les organisations doivent désormais envisager le cybersecurity mesh ou maillage de la cybersécurité. Un concept qu’il définit comme une approche architecturale distribuée pour permettre un contrôle évolutif, flexible et fiable. Dans cette optique de mesh, il n’est plus question de protection d’un périmètre IT traditionnel (le château-fort entouré de douves ou la citadelle), mais d’une conception plus modulaire où l’orchestration des policies est centralisée, mais où la mise en application de la politique de sécurité est distribuée.

En pratique, le maillage de la cybersécurité nécessite de redéfinir les périmètres de la sécurité autour de la personne ou de l’objet ainsi que de disposer d’une approche architecturale plus distribuée, ce qui permettra un contrôle évolutif, flexible et fiable, et empêchera les pirates d’exploiter les différents éléments d’un réseau. Bref, une approche plus standardisée et réactive de la sécurité.

Avantages

Gartner considère qu’une telle stratégie présente de nombreux avantages. Ainsi, le maillage supporte plus de 50% des requêtes IAM (identity and access management), sachant de de très nombreux actifs et identités numériques se situent en dehors du périmètre de l’organisation. Dès lors, un modèle de gestion unifiée des accès plus adaptatif, explicite et mobile peut être mis en place. Par ailleurs, de nouveaux prestataires de services de sécurité gérée (MSSP) vont voir le jour et proposer des solutions convergées et intégrées d’IAM. De même, les entreprises vont déployer de nouveaux outils de vérification des identités pour faire face aux faiblesses actuelles des processus d’identité des collaborateurs. Gartner considère encore que d’ici 2024, un nouveau standard d’identité décentralisé, portable et véritablement global va émerger, notamment grâce à la technologie de la chaîne de blocs. Enfin, les entreprises vont exiger de leurs fournisseurs de services de vérification d’identité qu’ils prouvent la minimisation des biais démographiques en termes de genre, de race et de caractéristiques diverses (physiques notamment).

Impact

Le cybersecurity mesh apparaît comme un composant essentiel de la philosophie Zero Trust ou Zéro Confiance (voir notre blog précédent), où tout équipement est considéré par défaut comme pas digne de confiance et doit donc d’abord faire l’objet d’une vérification avant que l’accès lui soit accordé. Grâce à cette approche, la sécurité s’adapte automatiquement à toute menace ou tout changement dans la stratégie d’accès. En effet, les menaces peuvent être détectées en temps réel et les actifs tels que les données ou les équipements sont mieux protégés qu’avec de simples mots de passe VPN. Le maillage permet de s’assurer que les données, systèmes et appareils bénéficient d’un traitement égal et sécurisé quel que soit leur emplacement sur le réseau.

Au niveau des développements informatiques, ce cybersecurity mesh implique une reconfiguration totale de chaque processus ainsi que la mise en compte de mesures différentes durant le cycle de développement du réseau proprement dit. La sécurité ne peut plus être conçue et déployée après coup, mais doit faire partie intégrante du processus de conception de l’architecture réseau. Les équipes de développement doivent donc être impliquées étroitement pour assurer un déploiement flexible par la suite.

En outre, les frameworks de sécurité ne valent que par la qualité des informaticiens qui en assurent la mise en œuvre. Il est donc important que les spécialistes de la sécurité soient familiarisés avec le mesh et la sécurité, et qu’une culture de l’amélioration continue soit définie dans la stratégie. Ce faisant, les applications pourront s’interfacer de manière transparente dans la sécurité et l’intégration des systèmes et équipement s’en trouvera facilitée.

Etant donné que le marché de le cybersecurity mesh en est encore à ses balbutiements, le choix d’un partenaire technologique fiable et de confiance se révèle essentiel dans la recherche d’une plateforme pérenne et globale, capable non seulement de sélectionner l’offre la plus pertinente, mais aussi de la déployer et de la maintenir. A cet égard, Aprico ambitionne d’aider les entreprises à innover et à repenser leurs processus métier en mettant la sécurité au centre de leur réflexion stratégique. Nous pouvons partager les bonnes pratiques, technologies et modèles organisationnels qui permettront à l’organisation de s’ouvrir sur l’extérieur et de partager l’information en toute sécurité.

Réussir en tant que consultant introverti

Consultant IT : comment réussir en tant que personne introvertie
L’introversion n’est pas un défaut. Au même titre que les personnes extraverties, les introvertis peuvent transformer leurs attitudes en réel levier professionnel. Découvrez les astuces d’une experte…

Si on ne peut pas changer sa personnalité, on peut par contre apprendre à l’utiliser à bon escient (et en faire un réel tremplin professionnel). L’introversion est le meilleur exemple. Reconnaitre ses propres attitudes face au monde et à soi-même permet de trouver sa place et de booster sa carrière. Un consultant IT averti en vaut deux…

Introverti vs extraverti

En réunion, il y a les vedettes et les observateurs. D’après vous, qui est l’introverti ? Sans faire de caricature, il faut reconnaitre que nous associons souvent les gens introvertis à la timidité voire la sensibilité. Faux, ou presque. Selon Katja Soors , fondatrice de Introvate et coach spécialisée en introversion, la nuance est à deux niveaux : « L’énergie et les stimuli. L’introverti est plus sensible aux stimuli externes, qu’il fuit ou traite sur un plus long laps de temps. Il puise son énergie plus facilement en lui-même et exprime moins le besoin de contacts sociaux. C’est une des forces des introvertis. »

Autonomie et du travail en solo

Finalement, la consultance en IT est-elle une bonne piste pour les introvertis ? Il n’y a bien sûr pas de réponse toute faite à cette question. Mais Katja Soors indique quelques arguments à prendre en compte. « En tant qu’introverti, vous serez au top dans une mission qui vous demande une grande autonomie et du travail en solo. C’est d’ailleurs votre habitat naturel et vous y trouverez beaucoup d’énergie. La durée de la mission n’est pas à sous-estimer. Au plus long au mieux puisqu’il faut plus de temps à un introverti pour construire une relation. Mais cela fait de lui un excellent ambassadeur. »

Une personne unique

Vous avez dit ambassadeur ? Voilà une qualité essentielle pour un consultant IT en détachement. « Tout commence par une bonne connaissance de soi. Je conseille de bien définir ses compétences, ses atouts, ce qui fait de vous une personne unique et si efficace dans votre domaine. Avant d’arriver en entretien, la clé pour l’introverti sera donc la préparation. Contrairement à une personne extravertie, il a besoin de gagner en assurance » souligne Katja Soors. Cette étape préparatoire permet également de ne pas tomber dans le piège du candidat qui sous-estime ses compétences.

L’introversion n’est pas un défaut

C’est une qualité, à condition de le reconnaitre et d’en faire un avantage. Les choses deviennent immédiatement plus claires pour vos prospects et vos interlocuteurs. Ce qui ne veut pas dire qu’il soit nécessaire de se justifier. Katja Soors conseille toujours d’avertir le client de son propre mode de fonctionnement. C’est beaucoup plus facile pour tout le monde et cela démontre la confiance en soi et en ses capacités.

Trucs et astuces

La consultance est souvent synonyme d’un travail en mode projet et de changement régulier d’environnement. Une situation dont les introvertis sont moins friands. Ici aussi Katja Soors propose des outils pour se simplifier la vie. « Au début d’une mission, venez le plus tôt possible sur votre lieu de travail, avant que la majorité des collaborateurs de l’entreprise arrivent. Cela permet de profiter de votre zone de confort et d’éviter un maximum de stimuli. Ne vous placez pas en plein milieu de l’open-space ou de l’espace collaboratif. Choisissez un endroit calme (et n’ayez pas peur de le préciser au client si nécessaire). »

Connecter ou collecter ?

En tant que consultant (IT), un peu de branding personnel n’est pas superflu. Ce qui implique une exposition vers l’extérieur, et donc un obstacle potentiel pour les introvertis. Là où l’extraverti a plutôt tendance à ‘collecter’ (générer beaucoup de contacts sur des cycles courts), l’introverti a, lui, tendance à ‘connecter’. Ses contacts sont moins fréquents et s’inscrivent dans des cycles plus longs. « Une manière d’éviter la pression et de se sentir en phase avec sa vraie nature. Les introvertis reconnaitront leur force : une prise de décision réfléchie en cohérence avec leur expertise. »

Le Know-Like-Trust factor

Vous démarrez en tant que consultant IT et vos traits de caractère s’apparentent plutôt à une personne introvertie ? Prenez de l’avance en adoptant une approche différente. L’objectif ne doit pas être une croissance fulgurante, mais structurée. Il est également bon de s’entourer d’autres consultants qui possèdent les compétences nécessaires à votre développement. Chez Aprico, nous croyons d’ailleurs à l’accompagnement de A à Z . Car c’est bien connu, on fait plus facilement appel aux professionnels qu’on apprécie et en qui on a confiance…

Passer en mode action

Le consultant IT (introverti) ne fait pas exception. Il doit être orienté action et penser en mode opérationnel : savoir où il puise son énergie. Il est crucial de toujours rester en action, car de petits pas auront plus d’effet que des pas de géant. « Je conseille de tenir un carnet dans lequel on note le niveau d’énergie que procurent les différentes actions de la journée. Un aperçu souvent révélateur pour la suite ! »

3 conseils pour réussir en tant que consultant IT introverti

1. Découvrez la force de votre personnalité introvertie

2. Identifiez vos qualités pour mettre en avant votre expertise

3. Façonnez vos compétences sociales et communicatives

A la recherche d’une mission en IT ?

Chez Aprico, la diversité fait partie de nos valeurs. Que vous soyez introverti ou extraverti, nous tenons compte de votre personnalité et de vos compétences. En tant que consultants IT, vous bénéficiez d’un accompagnement tout au long de votre carrière. Cerise sur les cookies ? Nous assurons le paiement de vos factures et défendons vos intérêts. Toujours.

Envie d’une mission sur mesure ? Consultez nos opportunités et mettez-nous au défi lors d’une première rencontre.


Human change management. Digital transformation: what if we would also transform the employees?

With the acceleration of digital transformation – linked to the pandemic and the lockdowns – organizations should rethink not only their digital strategy, but also the way of managing their teams. Indeed, the many changes are not only technological, they also require a new way of guiding, engaging and managing the employees.

On this blog, we regularly discuss the new technologies and innovations which might initiate or accelerate the digital transformation of organizations. This is really a must in these times of accelerating evolution and telework linked to the lockdown. Nevertheless, after the outbreak of the pandemic, companies have been forced to imagine new working methods by making telework widespread. However, these new processes and the associated technologies have often been deployed as a matter of urgency, without a well-considered strategy, particularly in terms of safe access to information and collaborative tools.

Recruitments and trainings

Since it appears that telework won’t disappear soon, the time has come for the organizations to stop and think about the best procedures to follow in order to structure this telework.

This way, the shift from physical presence to digital culture has created a feeling of isolation among the employees or has even led to the fact that their managers don’t listen to them anymore. Hence the need to come up with solutions in order to better supervise the employees, to allow them to collaborate online just as efficiently as face-to-face and to promote the company culture. The aim is to retain the staff and to create a sense of trust, both at employee level and at management level, since presence has now become less important than performance or productivity. Moreover, the sense of responsibility must be sharpened so that the employees could enjoy greater autonomy and establish a better balance between their private and professional lifes.

Furthermore, companies will have to review their recruitment and integration procedures, since the physical location isn’t as important as it used to be. Besides, the pool of potential valuable candidates should considerably be extended since the commuting distance is no longer such a decisive criterion (in the past, we had already seen certain profiles hesitate about or even refuse positions too far away from their place of residence or more difficultly accessible). And this pool of talents could even transcend national borders…

Furthermore, it will be a matter of emphasizing more than ever additional training or retraining, preferably as personalized as possible, a decisive element for IT professionals whose technological skills tend to quickly become obsolete. These trainings can and shall be provided remotely, especially because the intensive use of the cloud, of outsourcing and of agile methods in particular, not to mention the growing importance of security, has considerably complicated the work of IT specialists.

Listening

Companies will have to listen to their employees in a business and IT world becoming more volatile than ever. Ideally, competition should be replaced by collaboration. As a result, behavioral and interpersonal skills (soft skills) as well as organizational skills will prevail over pure technical know-how. In this context, women could get some opportunities, especially in an IT world which is still too largely dominated by men, even more so since women can also benefit from their capacity for empathy. Besides, greater diversity – and not just in terms of gender – can only be positive for the IT department.

Finally, the general management will have to listen more closely to its IT department when it comes down to security; not only data access security, but also data security through a continuity plan and a disaster recovery plan within the framework of a controlled risk management, if possible with security by design.

In the long term?

Will this normality imposed by Covid-19 and the lockdowns impose itself as the ‘new normal’? Initially at least, the new digital technologies have shown that an organization can perfectly work remotely and perform very well. However, many changes must still be performed… and accepted at all levels.

In order to make these changes truly sustainable, the organization will have to digitize its processes as much as possible; it’s the only possible path towards more flexibility, responsiveness and resilience. Moreover, an agile model will ensure maximum adaptability and the capacity to quickly integrate any new innovation.

Supporting companies in their transformation: that is Aprico Consultants’ mission. This support is both strategic and technological. In order to support its strategy, Aprico has developed an original work methodology articulated around three axes: smart, lean and agile. Aprico’s transversal approach combining business, technology and methodology, all of this associated with its requirement standards, is one of the key factors to success.

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