Gérer la stratégie de transformation numérique et sa mise en œuvre dans une organisation peut être encadrée par un outil de balanced scorecard (BSC) déjà largement utilisé pour mesurer la performance de la stratégie d’entreprise.
Concept né dans les années ’90 à la Harvard Business School, le balanced scorecard est destiné au départ à ne pas limiter la gestion stratégique d’une entreprise à des mesures financières uniquement. L’idée était donc de gérer la performance stratégique à l’aide d’un tableau de bord équilibré qui permet de traduire la stratégie et la mission d’une organisation sous forme de critères tangibles susceptibles d’être mesurés et prioritisés.
En pratique, quatre axes avaient été définis sur la base de tableaux de bord : perspective financière (économie), perspective des processus métier internes (processus), perspective client (client) et perspective de connaissance, de formation et de croissance (apprentissage). Des indicateurs sont ensuite déterminés pour chaque perspective en fonction du contexte et des besoins de pilotage.
IT BSC
Comme l’informatique s’impose comme un composant essentiel de la gestion d’une organisation, il devenait indispensable de mesurer les performances de l’IT et de définir ses objectifs stratégiques. Or l’émergence du cloud et des méthodologies agiles modifient fondamentalement le pilotage de l’IT, sans oublier évidemment l’externalisation informatique et le concept ‘as-a-Service’.
Toutes ces nouvelles évolutions modifient en profondeur les rôles, les comportements et les compétences des équipes IT. De nouvelles valeurs voient le jour, comme la transparence et la gouvernance, tandis que les missions des informaticiens se transforment, passant d’un rôle d’exécution à celui d’encadrement, de coordination et de support. De même, le manager voit sa fonction se transformer vers une position de pilotage plutôt que de contrôle.
Quelle approche ?
Globalement, deux approches peuvent être envisagées. D’une part, utiliser les métriques existantes du BSC d’entreprise pour les appliquer à l’IT, avec comme avantage que toutes les parties « parlent le même langage ». En l’occurrence, les critères employés dans les départements RH, finances ou comptabilité pourraient servir dans l’IT.
L’autre approche consiste à créer des tableaux de bord spécifiques à l’IT en s’appuyant sur les quatre axes évoqués ci-dessus et en les adaptant aux besoins de l’IT, voire en créant de nouveaux critères de mesure. Dans ce cas, les experts suggèrent d’opter pour des KPI (key performance indicators) qui soient distincts de ceux du BSC d’entreprise.
En pratique, il s’agira dans un premier temps de définir les objectifs pour chaque vue du tableau de bord prospectif. Ensuite, il conviendra de choisir des indicateurs pertinents pour chaque objectif, puis de fixer une valeur cible (le niveau de performance souhaité). Enfin, il s’agira de sélectionner des initiatives stratégiques, à savoir des actions et projets menés pour atteindre les objectifs fixés. En fonction des actions/projets choisis, il sera peut-être nécessaire de descendre d’un niveau et de s’intéresser aux plans d’action opérationnels.
A noter que les actions menées pour chaque perspective s’inscrivent dans une cohérence d’ensemble où l’on retrouve donc à la fois la vision, les objectifs, les indicateurs et les initiatives.
Défis
Si le BSC et l’IT BSC sont désormais assez largement répandu dans les (grandes) entreprises, plusieurs défis doivent cependant encore être relevés. Ainsi, l’IT BSC exige une customisation plus ou moins importante, ce qui est lourd en termes de ressources et de délai de mise en œuvre, mais risque également de s’écarter de l’objectif premier, à savoir de mesurer sur une même base le département informatique et les autres entités organisationnelles.
De même, cet IT BSC exige l’adhésion des collaborateurs du département informatique ainsi que du management pour assurer des mesures à la fois cohérentes et précises. De même, une nouvelle culture d’entreprise devra être instaurée pour éviter que l’on se tourne trop vers le passé – « C’est ce que l’on a toujours fait ! » – pour se concentrer sur ce qui est aligné ou non sur la stratégie.
Valeur ajoutée
L’implémentation d’un IT BSC se justifie par plusieurs raisons : offrir une vue cohérente de la stratégie IT, améliorer la communication stratégique avec l’IT, renforcer la compréhension entre les différents métiers au sein du département IT, définir un engagement plus fort vis-à-vis des objectifs définis et enfin mettre en place l’apprentissage stratégique.
Plus globalement, l’IT BSC permettra de mesurer la valeur IT de l’organisation et lui permettre dès lors de s’approprier des projets à haute valeur ajoutée et innovants.
Aprico Consultants est une société de consultance de premier plan qui guide la stratégie et la transformation ICT dans le but de stimuler la performance, la productivité et la compétitivité de votre organisation. Nous combinons une expertise pointue à une parfaite compréhension du contexte et de l’expérience du client ainsi qu’une approche de bout en bout dans tous les secteurs, depuis la consultance jusqu’au déploiement de solutions.
Qui mieux qu’un pirate informatique est à même de vérifier la sécurité d’une application mise au point par un développeur ? Avec à la clé un ‘bug bounty’ ou prime aux bogues. Selon le principe : « C’est avec les braconniers que l’on fait les meilleurs gardes-chasse. »
Le principe du bug bounty est trivial. Aujourd’hui encore, le développement de logiciels reste un processus complexe et fragile, souvent réalisé par des humains. Et comme « l’erreur est humaine », un logiciel est donc susceptible de comporter des fautes. D’autant qu’un tel logiciel est en général conçu par plusieurs développeurs qui ne sont pas forcément toujours sur la même longueur d’onde. De plus, un logiciel est classiquement soumis à des mises à niveau et autres améliorations qui le complexifient, ce qui multiplie le risque de problème. Sans oublier que dans l’urgence (le métier attend normalement son application avec impatience), le logiciel n’est pas toujours soumis à des tests et vérifications poussées, tant au niveau de la cohérence du code que de la (cyber-)sécurité notamment.
Et avec les projets numériques qui se multiplient au sein des entreprises, la pression sur l’informatique pour accélérer le déploiement d’applications se fait toujours plus forte, d’où le risque de court-circuiter le processus de vérification du code et de sécurisation des programmes.
Récompense
Vous l’aurez compris : un logiciel n’est jamais parfait, n’en déplaise aux développeurs d’applications. Et si les outils de sécurité se cessent de se développer, aucun logiciel n’est à l’abri d’une faille. D’où l’idée émise par certaines organisations de renforcer leur cybersécurité en mettant en place des solutions de bug bounty visant à embaucher des pirates éthiques pour découvrir et signaler une vulnérabilité dans une application. Bref, de proposer à des chasseurs de prime ‘de confiance’ de mettre leurs compétences diverses et variées au service de la sécurité des applications.
En pratique, un programme de prime aux bogues commence par la définition du périmètre à sécuriser et du budget alloué. Cela permet à l’entreprise d’exclure certains domaines, notamment pour éviter de perturber le fonctionnement de l’organisation. Par ailleurs, le montant de la récompense sera en général proportionnel à l’impact potentiel de la faille découverte. Même s’il faudra éviter bien sûr que le pirate éthique se contente des ‘low hanging fruits’, entendez les résultats faciles et donc les plus rémunérateurs. Cela dit, la motivation des hackers n’est souvent pas le seul appât du gain.
Une fois que le pirate aura découvert une faille, il conviendra de lui demander un rapport précis du problème ainsi que de son impact et son degré de gravité. Ensuite, le pirate précisera la manière de reproduire le bug, ce qui permettra aux développeurs de le documenter et de le confirmer. Après quoi la prime sera versée…
En pratique
Globalement, deux approches peuvent être envisagées pour la mise en place d’une solution de bug bounty. D’une part, héberger en interne une telle solution. Mais au préalable, il faudra prévoir une plateforme de communication, un système de suivi des bugs et une passerelle de paiement. L’autre méthode consiste à s’adresser à l’un des nombreuses plateformes existantes. Citons par exemple YesWeHack, Open Bug Bounty, HackerOne, BugCrowd, SafeHats, Intigriti ou Synack.
Ajoutons que pour aider les entreprises à mettre en place une approche de bug bounty, le Centre pour la CyberSecurity Belgium propose sur son site (4) une ‘coordinated vulnerability disclosure policy’ CVPD. Il s’agit d’un ensemble de règles définies à l’avance par une organisation responsable des systèmes IT pour permettre à des pirates éthiques d’identifier les vulnérabilités potentielles dans ses systèmes ou de fournir toute information pertinente à propos de ces failles. Un tel programme de prime aux bogues couvre l’ensemble des règles établies par l’organisation responsable pour donner des récompenses aux participants qui identifient des vulnérabilités dans les technologies qu’elle utilise. Il s’agit d’une sorte de politique coordonnée de divulgation des vulnérabilités qui prévoit des primes en fonction du volume, de l’importance et de la qualité des informations fournies.
D’ores et déjà, de nombreuses grandes entreprises ont mis en place des approches de primes aux bogues. Et notamment la plateforme d’e-commerce Shopify qui a fait de la sécurité une priorité absolue. Ou encore le site d’appli mobile Yelp qui publie des avis participatifs sur les commerces locaux.
Aprico ambitionne d’aider les entreprises à innover et à repenser leurs processus métier en mettant la sécurité au centre de leur réflexion stratégique. Nous pouvons partager les bonnes pratiques, technologies et modèles organisationnels qui permettront à l’organisation de s’ouvrir sur l’extérieur et de partager l’information en toute sécurité.
Trouver son équilibre personnel vie privée/vie professionnelle
Le risque d'épuisement professionnel pour les consultants IT ? Oui, il existe. Pour préserver votre qualité de vie, déterminez votre propre charge horaire et mentale maximum.
Trouver le bon équilibre, c’est une valeur à laquelle nous tenons, chez Aprico. Mais aussi un exercice propre à chacun de nos consultants. Pour vous, la balance vie privée/vie professionnelle se calcule-t-elle en charge horaire, en charge mentale, en quality time avec votre famille, en activités sociales, sportives, personnelles ? Voici quelques trucs afin de placer le juste curseur pour vos besoins.
Avec le travail hybride, la question de l’équilibre vie privée/vie professionnelle se pose encore davantage. Certains prônent une séparation claire et matérielle. D’autres estiment qu’il s’agit d’une frontière impossible à dessiner, surtout parmi les consultants… Une chose est certaine : il n’y a pas de mesure universelle. Tout simplement parce que cette notion d’équilibre est propre à chacun.
Dans un autre article, nous vous avions déjà fait découvrir pourquoi la discipline appliquée en mission de consultance ou en privé permet de booster votre épanouissement personnel.
Une cause, plusieurs effets
Vous l’avez déjà remarqué : un surcroît de travail peut entraîner un regain d’énergie chez les uns et un ras-le-bol chez les autres. Parfois, ces deux extrêmes s’observent chez la même personne à des moments différents. Comment savoir où vous vous situez ? Grâce à un exercice très simple qui ne nécessite qu’un papier et un crayon : le camembert de votre vie. On essaye ?
Certains y ajoutent l’argent, la spiritualité, le sommeil ou encore la contribution au monde.
L’équilibre est une valeur relative
Ready ? Cet exercice n’a d’autre objectif que de mesurer ses propres marges de progression à l’instant T. De prendre conscience de ce qui fonctionne plus ou moins bien. Et de déterminer une stratégie d’évolution pour équilibrer notamment vie privée et vie pro. Sans pression. Mais avec l’aide de quelques outils que vous dévoile plus loin. L’exercice peut être répété tous les ans ou même plus souvent, avec des résultats différents. Normal : l’équilibre est une valeur relative.
Les astuces (testées et approuvées)
Découvrez l’équilibre vie privée/pro en tant que consultant chez Aprico
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Optez pour une mission qui vous colle à la peau
Après deux années où la pandémie et le confinement ont contraint l’informatique à déployer, souvent dans l’urgence, le cloud et le télétravail – le tout associé évidemment à la sécurité -, il est à présent temps de reprendre une vitesse de croisière. Et de – mieux – gérer les dépenses IT dans le cadre de l’ITFM ou IT Financial Management
A présent que la crise du Covid-19 est – pratiquement – oubliée, l’informatique peut se concentrer pleinement sur la poursuite de la transformation numérique, même si le confinement en avait accéléré le déploiement. Ainsi, le cabinet de consultance Gartner prévoit pour cette année 2022 une hausse des dépenses IT mondiales de 5,1% par rapport à 2021, soit 4.500 milliards de dollars, grâce notamment à la reprise économique qui s’amorce. D’ailleurs, « 2022 is the year that the future returns to the CIO », estime John-David Lovelock, distinguished research vice president chez Gartner. « They are now in a position to move beyond the critical, short-term projects over the past two years and focus to the long term. »
Phasage
Toujours selon Gartner, l’ITFM vise à gérer le département informatique comme n’importe quelle entité d’une organisation. Les outils d’ITFM fournissent aux CIO une analyse détaillée des coûts et de la consommation IT et sont conçus pour améliorer la prise de décisions (financières) en fournissant en temps réel différents niveaux de vues sur le coût total de l’IT. Il s’agit donc d’agréger l’ensemble des postes de coûts IT, un défi d’autant plus grand que les organisations modernes combinent des activités sur-site et dans le cloud, qu’il soit privé, hybride ou public.
En pratique, un projet d’ITFM s’étale en moyenne sur trois à six mois et devrait s’effectuer en trois phases. D’abord, un état des lieux des processus de suivi budgétaire et de refacturation. Ensuite, une définition de la taxonomie cible, ce qui permet de mettre en place un standard budgétaire multidimensionnel spécialement adapté aux projets cloud et agiles, particulièrement consommateurs d’Opex (entendez les dépenses d’exploitation) à l’inverse de l’infrastructure notamment, davantage axée sur le Capex ou les dépenses d’investissement. Différentes solutions existent sur le marché, par exemple le Cigref en France ou le Council TBM 4.0 (Technology Business Management) et ont pour but d’industrialiser la consolidation et l’affectation des dépenses IT. Enfin, l’intégration de cette taxonomie avec les outils IT existants, notamment FinOps et comptables, avant le basculement par entité.
Bénéfices
Si la remarque « L’IT coûte cher » vous est familière, sans doute l’ITFM est-il la réponse. Dans une organisation en effet, il n’est pas rare que le coût réel de l’informatique soit mésestimé, d’autant plus avec l’émergence du cloud et du ‘As-a-Service’, sans parler évidemment de la ‘shadow IT’ où les utilisateurs achètent et consomment des services et ressources informatiques sans le contrôle du département IT.
En mettant en place une solution d’ITFM, l’entreprise sera en mesure de contrôler très précisément ses coûts, lui permettant de réduire ou d’éliminer les coûts jugés inutiles ou peu opportuns. Elle pourra également évaluer et prioritiser des projets et initiatives en fonction d’un rapport coûts/bénéfices rigoureux. De même, les utilisateurs finaux pourront être conscientisés au coût réel de leur demande de ressources grâce à une évaluation plus précise des investissements. De même, les coûts pourront être affectés très précisément à chaque projet et activité, d’où une plus grande transparence et une meilleure ‘accountability’ de chaque entité.
Grâce à un contrôle financier plus fin, l’entreprise pourra avoir une meilleure visibilité sur son IT hybride, associant à la fois des ressources/applications sur-site, mais aussi dans le cloud. Enfin, cette gestion financière stricte permettra de mieux planifier le budget futur, puisque ‘mesurer, c’est savoir’.
Clés du succès
Sachant que, toujours selon le consultant Gartner, la moitié des dépenses IT se feront dans le cloud d’ici 2025, la mise en place d’une stratégie d’ITFM apparaît comme indispensable. Mais elle obligera toute l’organisation à repenser ses pratiques et à impliquer l’ensemble des entités à tous les niveaux.
En effet, le succès d’une solution d’ITFM passe par une analyse approfondie de chaque coût, la consolidation des différentes données, puis leur analyse avant la prise de décisions sur la base de chiffres disponibles en temps réel.
Comme cette gestion financière se doit d’être globale, il est sans doute opportun de commencer par un modèle basique qui sera ensuite étendu à toute l’organisation. Et à chaque fois qu’un nouveau projet ou une nouvelle dépense sera envisagée, il conviendra de s’appuyer sur cette structure ITFM et de l’alimenter pour créer une boucle vertueuse. De même, un changement de culture devra être initié pour impliquer chacun. En l’occurrence, des ‘quick wins’ permettront de convaincre les différents acteurs de la pertinence d’une telle solution d’ITFM.
Le projet d’ITFM s’inscrit – évidemment – dans la cadre plus vaste de la transformation numérique. Accompagner les entreprises dans leurs projets de transformation numérique : telle est la mission d’Aprico Consultants. Un accompagnement qui se veut à la fois stratégique et technologique. Pour supporter sa stratégie, Aprico a mis au point une méthodologie de travail originale articulée selon trois axes : smart, lean and agile.
Surconnexion, hyperconnexion : comment fixer les limites
Et si même les pros de la technologique devaient s’imposer une pause technologique ? Trucs et astuces pour rester concentré en mission (et en dehors) …
Être joignable en permanence ou revendiquer le droit à la déconnexion ? C’est le dilemme auquel nous confronte l’hyperconnexion. Elle a l’avantage de doper notre agilité, mais peut se révéler un cauchemar pour le consultant. Au programme de la solution : pause technologique, set-up intelligent des outils… Suivez- le guide.
Avoir la possibilité d’être connecté en permanence a changé notre vie dans tous ses aspects. Dans le domaine du travail, c’est cette connectivité permanente, quel que soit l’endroit (ou presque), qui a permis de switcher pour le travail à distance du jour au lendemain. Elle a permis de continuer à collaborer, de se montrer agile et productif à distance, parfois même plus que sur site. Bravo !
Êtes-vous surconnecté ou hyperconnecté ?
Mais il y a un revers à la médaille. Des répercussions sur la qualité de vie, sur le moral et la santé. On dit d’un collaborateur ou d’un consultant qu’il est en état de surconnexion lorsqu’il multiplie l’utilisation d’outils nomades et numériques et y consacre beaucoup de temps sur sa journée de travail. Notre lot quotidien. On parle d’hyperconnexion quand il n’arrive pas à décrocher du boulot et à faire la distinction entre vie privée et vie professionnelle . Vous méritez mieux, on en est convaincus.
Toute ressemblance avec une personne existante…
La bonne nouvelle, c’est que les clés de la tranquillité d’esprit, de l’implication (engagement) et de la productivité sont les mêmes en mission et à la maison. Les gestes qui vous permettront de rester concentré jusqu’à la fin de votre tâche en situation de travail sont les mêmes que celles qui vous permettront de profiter d’un moment en famille sans interruption.
Les études regorgent de chiffres pour étayer ce constat. Nous serions interrompus par des e-mails 14 fois par jour. Certains consultent leurs mails toutes les… 6 minutes ! Pire encore, un manager cumulerait 2 journées de travail à gérer ses mails et à écouter des réunions sans intérêt direct chaque semaine. Chez Aprico, nous accompagnons nos consultants afin de rester efficace dans leurs missions.
Des pauses sans technologies
Comment rester concentré ? Plusieurs penseurs et chercheurs, qu’ils soient économistes ou psychologues, se sont penchés sur le sujet. Quelle que soit l’approche, la solution serait une question de priorisation, de limites et de pleine conscience. Par exemple, le simple fait de prendre des pauses sans technologie, comme une petite marche, manger dehors, permettrait d’augmenter notre concentration de façon notable et immédiate. Reste à ne pas profiter de sa pause au boulot pour checker ses réseaux. (au fait, votre profil LinkedIn est-il optimisé?)
Configurer et filtrer
Un autre truc efficace serait de bien configurer ses alertes et ses mails, filtrer les émetteurs ou les priorités en amont, afin de ne recevoir que les informations souhaitées sans être noyé sous les messages. Cela permet de rester disponible pour ce qui le nécessite et de choisir quel est le moment adéquat pour prendre connaissance du reste. Bon nombre de messageries le permettent. Et configurer un message de réponse automatique permet de rassurer votre interlocuteur sur le délai de réponse.
Multitasking, mais pas trop
On vante souvent le fait d’être multitâche. Pourtant, ce serait un frein à la concentration lorsque les deux tâches occupent la même fonction. Par exemple, écouter de la musique n’empêche pas de faire son jogging. Mais le fait de consulter ses mails ou ses réseaux pendant une réunion empêcherait tout focus, au point de nous empêcher de produire et de créer correctement. Le conseil ? S’occuper d’une chose à la fois, selon une liste établie et hiérarchisée, pour agir rapidement et avec efficacité.
À la recherche d’une mission en IT ?
Chez Aprico, la diversité fait partie de nos valeurs. Nous tenons compte de votre personnalité et de vos compétences. En tant que consultants IT, vous bénéficiez d’un accompagnement tout au long de votre carrière. Cerise sur les cookies ? Nous assurons le paiement rapide de vos factures et défendons vos intérêts. Toujours.
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Prioriser. Ne pas se laisser distraire par celles des autres. Savoir renoncer. Savoir dire non. Des skills qui s’apprennent pour ne pas subir sa vie/son travail.
On est tous ultras professionnels chez Aprico, c’est évident. Sky is the limit. Puis on se retrouve à 20h avec une ‘to do list’ impressionnante alors qu’on n’a pas arrêté une minute. Pas parce qu’on manque de compétence, de performance et d’organisation ? Non. Juste parce qu’on n’a pas (assez) priorisé. Bonne nouvelle : ça se travaille.
Que ce soit dans sa vie personnelle ou dans le cadre d’une mission, on a une tendance naturelle à se laisser embarquer par les agendas des autres, les mails reçus, les demandes plus ou moins urgentes pour des tiers. Difficile de dire non. Parce qu’on n’a pas envie de froisser. Parce que personne ne sait le faire mieux que nous. Parce que ça ne prendra qu’une minute…
Gagner du temps et de l’énergie
C’est typiquement le genre de détails qui nous amène le soir à constater qu’on n’a pas terminé les tâches qu‘on s’était fixées le matin. Alors que la journée a été bien remplie. Lorsque ce genre de schéma se répète, même si on arrive au terme de sa mission, on a perdu du temps et de l’énergie… dont on aurait bien tiré profit pour son épanouissement personnel, social ou familial.
Diriger sa trajectoire, pas la subir
Les coachs sont unanimes : accorder le même niveau d’importance à tout, c’est n’accorder d’importance à rien. Pour diriger sa trajectoire en tant que consultant IT et ne pas la subir, il faut se rendre compte qu’il va falloir renoncer à certaines choses : celles pour lesquelles on ne présente pas de talent particulier, par exemple. En butinant, on n’arrivera pas à garder le focus et à aller au bout des objectifs qu’on s’est fixés.
Des outils simples et puissants
D’accord, on n’est pas tous égaux devant la priorisation. On n’a pas tous été éduqués de la même manière. Et on ne navigue pas tous dans le même environnement. Les passionnés monomaniaques ont davantage de facilité à ne pas dévier de leur trajectoire. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des outils simples et puissants pour aider à définir ses priorités, enfiler des œillères en pleine conscience pour ne pas se laisser distraire de but ultime. S’autodiscipliner.
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Avec le confinement et le télétravail, les réseaux d’entreprise ont été mis sous forte pression. Pour garantir une disponibilité et une flexibilité optimales, l’architecture du réseau se doit d’être simplifiée. Et comme tout est désormais ‘as-a-Service’, pourquoi ne pas opter pour le Network-as-a-Service…
Clairement, les technologies ‘as-a-Service’ ont le vent en poupe, comme le montre le succès des stratégies IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) ou encore SaaS (Software-as-a-Service). Au point d’ailleurs que les observateurs parlent de ‘X-as-a-Service’, entendez que le service devient la forme ultime du produit (voir un blog précédent).
Marché
Selon une toute récente étude d’Aruba, spécialisée en solutions de sécurité et de réseau d’entreprise, 86% des entreprises de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) envisageraient, à des degrés divers, d’adopter une stratégie NaaS. Et par NaaS ou Network-as-a-Service, Aruba entend « un modèle où plus de la moitié du déploiement et de son exploitation est confié à un tiers sous la forme d’un abonnement. »
De son côté, le cabinet Gartner décrit le NaaS comme un modèle de fourniture de produits réseaux sous la forme d’un service qui a les caractéristiques suivantes : fonction de self-service, usage à la demande, possibilité d’évolution à la hausse et à la baisse, facturation selon un modèle Opex et consommation à la demande via des métriques quantifiables. A titre d’exemple, Gartner évoque les commutateurs, routeurs, passerelles et pare-feux.
S’il faut en croire une étude récente du consultant ResearchAndMarkets, le marché mondial du NaaS était estimé à 11,4 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 118,7 milliards de dollars en 2027, soit une croissance annuelle cumulée de 41% sur la période concernée. Il faut dire que beaucoup d’organisations exploitent des infrastructures réseaux vieillissantes et que le NaaS peut devenir un moteur important de cette modernisation et de la numérisation, surtout avec l’émergence du cloud.
Avantages
Toujours selon l’étude d’Aruba, l’efficacité financière (entendez la réduction des coûts opérationnels) serait la motivation première du déploiement d’un NaaS par les entreprises belges (80%), devant la possibilité de convertir des dépenses d’investissement (Capex) en charges d’exploitation (Opex) pour 66% des répondants belges.
Par ailleurs, la flexibilité est citée par 66% des entreprises, essentiellement pour adapter le réseau à l’évolution des besoins commerciaux ainsi que pour modifier la gestion commerciale. Enfin, la moitié des entreprises belges voient dans le NaaS un moyen soit de réduire les effectifs informatiques, soit de réorienter les équipes IT existantes vers l’innovation et les initiatives stratégiques, et éviter qu’elles ne doivent surveiller le réseau pour faire tourner l’organisation.
De même, le NaaS peut apporter une réponse à la problématique du télétravail liée au confinement dans la mesure où il permet de connecter plus facilement les utilisateurs aux ressources et applications de leur entreprise, quel que soit leur mode de connexion. En outre, la gestion réseau devient moins complexe grâce à des outils plus conviviaux et une administration centralisée.
Enfin, le NaaS est perçu comme un accélérateur de la transformation numérique engagée par les entreprises, notamment grâce à la virtualisation des fonctions du réseau et l’approche logicielle de la gestion du réseau.
Obstacles
Comme on le voit, le NaaS présente des avantages évidents. Pourtant, cette technologie ne devrait pas révolutionner le marché d’un coup de baguette magique. C’est ainsi qu’il ne faudrait pas confondre NaaS et SD-Wan qui porte sur la virtualisation du réseau, et permet donc une gestion centralisée, mais qui n’implique nullement une consommation à l’usage et ne se présente pas comme un service.
Autre obstacle potentiel, les processus financiers internes aux organisations dont les règles budgétaires et les cycles d’investissement peuvent constituer un frein à l’adoption du NaaS. C’est d’ailleurs une raison invoquée par la moitié environ des entreprises belges qui ont participé à l’enquête d’Aruba évoquée plus haut.
Cela étant, la raison principale de la lenteur d’adoption du NaaS serait une méconnaissance de la technologie. Pour preuve, seul un responsable informatique belge sur quatre a déclaré comprendre pleinement la signification du concept NaaS (alors que 100% affirment connaître l’acronyme). Du coup, rares sont les CIO à percevoir le NaaS comme une solution établie et pérenne – 13% seulement dans notre pays -, alors que 49% y voient un concept à la recherche d’un marché et 38% que la technologie en est encore à ses balbutiements.
Partenaire
Clairement donc, le NaaS fait dépendre l’organisation d’un fournisseur externe. D’où l’importance d’une relation de confiance avec ce prestataire. Aprico Consultants est une société de consultance de premier plan qui guide la stratégie et la transformation dans le but de stimuler la performance, la productivité et la compétitivité de votre organisation. Nous combinons une expertise pointue à une parfaite compréhension du contexte et de l’expérience du client ainsi qu’une approche de bout en bout dans tous les secteurs, depuis la consultance jusqu’au déploiement de solutions.
Documenter ses projets : 7 étapes clés
Prendre le temps de documenter ses missions grâce à des outils de gestion de projets, cela permet de gagner en efficacité, en temps, en sérénité et en énergie
Documenter ses projets. Une première étape déterminante pour toute mission, selon ceux qui y ont goûté. Inutile lorsqu’on travaille seul en consultance, estiment d’autres. Chez Aprico Consult, on pense qu’il s’agit d’un véritable levier de réussite. Voici pourquoi.
Lorsqu’on est performant, on est parfois convaincu que la recherche d’informations assimilées mentalement suffit pour mener à bien sa mission. Ce n’est pas faux. Vous avez sans doute fait le job et assuré à maintes reprises sans passer par un processus de documentation. Mais ceux qui l’ont tenté ne le regrettent pas. Même si c’est contre-intuitif, cela permet un gain de temps, de sérénité et d’énergie.
Un investissement qui rapporte
Que vous jongliez avec les clients ou que vous soyez dans une mission à long terme, le temps passé à cette tâche se révèle un investissement largement capitalisé à terme. Plus on le pratique, plus le processus s’opère vite, d’autant que les tâches sont récurrentes. Bonne nouvelle : vous n’êtes pas seul dans le processus et une multitude d’outils existent pour vous faciliter la vie.
Le professionnalisme ultime
Documenter ses projets présente de nombreux avantages. Un : ne pas négliger les détails, de façon à mieux gérer son temps et ses échéances. Deux : en rédigeant, le consultant voit plus aisément les points à améliorer et les sources d’erreur. Trois : grâce à ce process, la mission interrompue, pour quelque raison que ce soit, peut-être reprise en main instantanément. Même des mois plus tard, même si un autre client est passé par là. Quatre : faciliter la passation lorsque la mission est terminée, ce qui constitue la preuve de professionnalisme ultime. Tout le monde y gagnera.
Un outil de communication redoutable
La documentation se révèle en outre un outil de communication ultra efficace. En cas de doute ou de question sur l’avancée du travail, plus fréquent depuis le travail à distance, cette étape préalable permet de rassurer le client en un clin d’œil. Il suffit de lui montrer sur ce document existant où l’on se trouve dans la trajectoire définie et le tour est joué. Le temps ainsi gagné permet de mieux s’épanouir dans ses activités personnelles, sociales et familiales. Ce à quoi on est très attentif, chez Aprico.
La clarté prime sur le style
Le tout, c’est de trouver la bonne méthode, grâce à un outil que vous aurez choisi pour son ergonomie. Il existe pléthore de solutions pour organiser vos notes en créant des templates personnalisés, qui facilitent le classement, permettent des listes, des schémas, des liens. Une fois que vous aurez trouvé votre outil, un conseil prévaut : la clarté prime sur le style. Un dernier mot avant de se lancer ? C’est comme à la piscine : c’est entrer dans l’eau qui demande le plus gros effort. Ensuite, il suffit de nager dans les couloirs que vous aurez vous-même choisis.
7 étapes clés selon Aprico
1. Expliquez le projet (quoi et pourquoi). Même si c’est juste pour votre usage, rédigez-le comme si le lecteur n’y connaissait rien ou presque.
2. Décrivez les objectifs, les ressources, les résultats à atteindre. Même si ça vous semble tellement évident sur le moment.
3. Planifiez le projet en listant absolument toutes les tâches à réaliser. De façon claire, en estimant le temps nécessaire et les personnes concernées.
4. Documentez tout : ce que vous avez choisi de faire, mais aussi ce que vous avez écarté et pourquoi.
5. Identifiez les freins potentiels. Les imprévus et problèmes qui pourraient survenir ainsi que les points d’attention du projet/de la mission.
6. Rassemblez une liste de contacts clés. Indiquez les rôles des intervenants et leur contact par mail et par téléphone. Y compris vous.
7. Enregistrez le plan afin de le reproduire sur une prochaine mission. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
Découvrez encore plus d’astuces pour optimiser votre temps.
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Avec le confinement lié à la pandémie et compte tenu de la guerre des talents toujours plus exacerbée, l’entreprise se doit de mettre en place une stratégie pour attirer de nouveaux collaborateurs et retenir les collaborateurs en place. Dans ce contexte, l’expérience collaborateur (EX ou employee experience) apparaît comme un outil idéal.
Si le client est évidemment roi dans l’entreprise, les collaborateurs représentent la force motrice de toute organisation. Or la crise du Covid-19 a mis en lumière la nécessité – voire l’obligation – pour l’entreprise de réinventer le monde du travail, avec notamment des outils de communication/collaboration et d’accès à distance. Ce new way of working (NWoW) a également mis à mal les rapports traditionnels entre employeur et employé, obligeant les organisations à revoir leurs structures de décision et d’exécution. Enfin, les jeunes employés sont toujours plus sensibles aux notions de bien-être au travail et d’équilibre entre vies personnelle et professionnelle, ce qui contraint les employeurs à réinventer les interactions avec leurs collaborateurs.
La technologie comme pilier
Il est évident qu’une stratégie d’expérience collaborateur ne repose pas uniquement sur des outils informatiques susceptibles de permettre à l’employé d’être (plus) productif et performant au travail. En effet, une politique adaptée de gestion des ressources humaines favorisera tant l’intégration de nouveaux collaborateurs que la rétention des employés en place. Ainsi, une attractivité et une visibilité de l’entreprise seront des atouts importants, sans oublier les valeurs que véhiculent l’organisation (notamment de durabilité) ainsi que la culture d’entreprise. De même, l’épanouissement au travail et le sens du travail sont, surtout pour les jeunes générations, autant de valeurs mobilisatrices.
D’ailleurs, une étude d’IBM Smarter Workforce Institute indique que les entreprises qui mettent en place une politique d’expérience collaborateur ont un retour sur ventes deux fois plus élevé et un retour sur actifs trois fois plus élevé que leurs concurrents. De même, le MIT (Massachussetts Institute of Technology) estime que les leaders en EX voient leurs profits augmenter de 25% par rapport à la concurrence, tandis que le consultant Accenture considère que les leaders en EX dépassent de 122% la moyenne de l’indice boursier S&P.
L’IT comme levier
Mais la technologie informatique représente incontestablement un pilier majeur de l’expérience collaborateur, tant au niveau de la qualité des données traitées que de l’automatisation de différents processus administratifs. De même, l’IT peut être utilisée pour mesurer l’efficacité de la stratégie EX, et donc contribuer à l’activité en général.
En effet, les RH doivent pouvoir s’appuyer sur des données fiables et cohérentes de chaque collaborateur. En mettant à la disposition des employés différents outils de gestion des ressources humaines, le département RH peut s’assurer de collecter et de traiter des données personnelles à jour, et donc de gérer les dossiers de manière proactive et fiable. Car dès l’engagement d’un nouveau collaborateur, plusieurs outils informatiques seront mis en œuvre pour assurer le screening du dossier, le processus de recrutement, puis le dossier d’engagement.
Par la suite, l’employé se verra proposer des services sur-mesure et actualisés à sa situation personnelle. De même, le cycle de vie de l’employé sera pris en compte de manière globale, que ce soit au niveau de sa carrière, mais aussi de sa formation, de ses certifications, de son évolution de carrière, etc. Avec évidemment une mise à jour en continu en fonction de l’évolution de chaque collaborateur grâce à un système de feedback et de suivi.
De même, les solutions d’optimisation de la rémunération de chaque collaborateur devront être prévues pour s’assurer que chacun se voit présenter le package salarial le mieux adapté à sa situation et le plus évolutif en fonction de la carrière.
Dans le même temps, l’employé se verra proposer des outils informatiques adaptés à son environnement de travail et cohérents par rapport à sa situation. Le bring our own device pourra être une solution, à condition que la sécurité nécessaire soit prévue et que l’employé sera encadré, tant au niveau organisationnel (hiérarchique) que technologique. Il est évident par ailleurs que le support IT à distance et les outils collaboratifs deviendront indispensables dans le contexte du NWoW, de même que la mise à disposition des employés d’un catalogue d’applications disponibles à la demande et de manière sécurisée (avec de préférence une authentification unique pour l’ensemble des solutions).
Avantages
Une stratégie d’EX présentera de nombreux avantages. Ainsi, les nouveaux collaborateurs seront plus rapidement et mieux intégrés à l’organisation, ce qui augmentera leurs performances et leur rendement. De même, la productivité et la satisfaction au travail des employés seront meilleures, tandis que la satisfaction des clients s’en trouvera améliorée, les collaborateurs devenant le meilleur ambassadeur de leur organisation. L’innovation pourra également être stimulée puisque les employés travailleront dans un environnement plus stimulant et adapté. Et en interne, le département RH verra sa tâche facilitée puisqu’il disposera d’informations complètes et actuelles sur chaque collaborateur. Quant à la direction générale, elle ne pourra que se féliciter de compter sur des équipes performantes, responsabilisées et motivées. (4)
En combinant une expertise pointue et une maîtrise parfaite tant des aspects technologiques que du métier de notre client, quel que soit son secteur d’activité, Aprico peut développer et implémenter des offres ICT innovantes, susceptibles d’améliorer la productivité, l’efficience et la profitabilité de nos clients en vue de leur permettre d’être plus performants et de faire face aux défis technologiques actuels. Grâce à une interaction continue avec le client, nos services de bout en bout couvrent l’ensemble du cycle de vie de votre projet, depuis la consultance et le conseil stratégique jusqu’à l’implémentation en passant par l’analyse, le développement, l’implémentation et la transformation, tant au niveau des processus que des plateformes technologiques.
Proche de nos consultants : plus qu’une promesse
L’équipe d’Aprico sera toujours à vos côtés. Pas seulement avec un suivi RH classique, mais avec un coaching personnel. Rencontre avec Geoffroy Simon.
« L’équipe d’Aprico sera toujours à vos côtés », c’est notre promesse. Pendant toute votre vie chez nous, vous pourrez compter sur un accompagnement par l’équipe. Ce sont plus que des mots. Le parfait exemple avec Geoffroy Simon qui a développé une relation de proximité avec la quarantaine de consultants qu’il supervise.
Outre son titre de directeur service public, Geoffroy Simon décrit son rôle comme celui d’un facilitateur pour les consultants placés sous son aile. « Il peut s’agir d’une guidance technique, mais pas seulement. Il s’agit davantage d’huiler les rouages, d’être le filet qui permet de ne pas décrocher si une difficulté se profile », dit-il.
Que se passe-t-il lorsque vous devenez consultant chez Aprico ?
Commençons par le début. Que vous ayez été démarché par la société ou que vous vous soyez manifesté de votre initiative, la première étape consiste en un entretien téléphonique classique avec un référent au service RH. On discute avec la personne de ses compétences, de son expérience et de ses valeurs. Si l’interview se passe bien et qu’il y a une mission derrière, on passe à une interview physique, sauf restrictions sanitaires, avec un volet technique.
On prend le temps de vous découvrir
« Au-delà de savoir si tel candidat correspond à telle mission, on essaie surtout, pour ce second entretien, de comprendre notre futur collaborateur : ses réussites, ses échecs, sa personnalité, son approche globale, ses attentes. Outre les compétences techniques, il est capital pour nous de nous pencher sur les compétences humaines de nos futurs collègues, de savoir qui ils sont », décrit Geoffroy Simon.
Le perfect match entre le client et le consultant, c’est notre objectif permanent. Parce que l’humain est placé au centre chez Aprico, parce qu’on ne vous considère pas comme des pions, on essaie d’identifier au mieux vos forces afin de trouver la bonne mission pour chaque consultant. C’est pourquoi nous prenons le temps d’une interview plus approfondie.
Ne pas vous materner, mais vous aiguiller
Ensuite, il est hors de question de vous lâcher dans la nature. Aprico est là en cas de besoin. Pas pour vous materner, mais pour vous écouter en cas de demande. « Je peux souvent aider pour toute une série de questions, mais je sais aussi vers qui aiguiller si cela sort du champ de mes compétences », indique Geoffroy Simon qui a d’ailleurs prévu deux petits modules de formation sur les spécificités du secteur public dont il s’occupe, pour tout nouvel arrivant dans son équipe.
Les collègues ne sont jamais loin
Même s’il arrive de se retrouver seul sur une mission ou chez un client, Aprico n’est jamais loin. « Pour mes consultants, j’ai mis en œuvre ce qui me semblait indispensable lorsque j’étais moi-même consultant: un contact régulier. Il peut durer à peine deux minutes si tout va bien. Mais on peut aussi aller manger un bout ensemble s’il faut discuter plus longuement. Cela donne la possibilité au consultant de s’exprimer. Cela demande du temps, et on n’en fait sans doute jamais assez, mais c’est pour moi indispensable. », poursuit celui qui estime qu’une petite attention peut avoir de grands effets.
Tenir compte de nos collègues
Chez Aprico, on grandit. Mais on veille à conserver la proximité qui nous caractérise. « Nous gardons l’esprit start up. Nous restons relativement souples sur les plans de formation ou d’évolution. Chacun grandit à son rythme, en fonction de ses envies et de sa situation. » Il en va de même pour les missions : « Si un de nos consultants habite au fin fond de la province de Namur, on ne va pas lui imposer d’aller tous les jours à Bruxelles, ou alors de manière très temporaire. On essaie au maximum de tenir compte de ce type de contingences. »
« Je donne les clés, je décode la situation »
Une question ponctuelle, un mini brainstorming, un simple bonjour… Geoffroy Simon assure tout cela sans être envahissant. « J’essaie de donner des clés à mes consultants. Au besoin, je décode la situation avec un regard externe. Le fait de pouvoir prendre du recul, de donner un autre éclairage avant qu’un véritable problème se pose permet selon moi d’améliorer leur bien-être au travail. L’intention est de placer la mission sous les meilleurs augures. C’est notre culture. »
Des commerciaux qui ont été dans vos chaussures
La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas limité à une personne. « Du côté commercial, on a de plus en plus de profils techniques, d’anciens consultants, qui peuvent apporter ce genre de soutien. On a été dans leurs chaussures et on est en relation avec le client donc on est bien placés. » Et de l’autre côté, comment cela est-il perçu ? « Les derniers collègues qui nous ont quittés, pour des opportunités professionnelles irrésistibles, gardent le souvenir de cette ambiance presque familiale. Tout ce travail a donc un effet pour nos consultants, ils ressentent cette proximité », conclut-il avec le sourire.
Pourquoi Aprico ?
Vous intégrez une dynamique collaborative plutôt qu’une agence de détachement. Tout le monde vous connaît, et vous connaissez tout le monde.
Vous bénéficiez de notre accompagnement durant vos missions. Une équipe vous guide et vous oriente. À votre rythme.
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